Qui n'a jamais voulu détenir quelques "Pépites" dans ses mains? :-) ...

Chers intéressés lecteurs!

Je remarque la courbe des visites de ce blog toujours haute, qui plus est, en constante croissance, pour autant, je ne peux que constater pour l'heure: Aucune interaction entre vous... 

Bien...

Non obstant, mes notes ont peut-être quelques effets sur votre esprit, votre mental, votre comportement, votre psychisme!!... Et ainsi, aussi, sur vos proches! De cette façon, pour agrémenter votre existence, le sens de vos affects, la saveur de vos préférences, je vous fais part de quelques lignes sur lesquelles mes yeux se sont posées dès les premiers jours de l'ouverture de mon cabinet de psychologie-psychothérapie. Elles m'ont imprégnée, troublée, marquée, tant elles symbolisaient tout ce que je ressentais et n'arrivais pas à dévoiler aussi succintement. Dès lors, hâtivement, je les ai recopiées sur le premier post-it dont je pouvais me munir et je les ai clipsées à mon porte-stylos... Quelques heures suivantes, une charmante personne glissait dans ce porte-stylos, une magnifique bille qui alors, donnait encore plus de valeurs à ce pôeme... La personne n'avait pas pris connaissance de cette prose et je me suis dit "si elle savait à côté de quelles pensées elle a déposé cet objet... Si elle savait combien son geste et son don resteront "raffinés, distingués et estimables" pour moi... Combien cette bille ornementée de plus, d'un aspect particulier, racontera sûrement, ce lien entre elle et moi...": PRECIEUX... 

"Ce qui est précieux, Jamais ne se touche, Jamais ne se sent, Ni se goûte,

Ce qui est précieux, Se frôle avec stuppeur, Mais ne se retient pas.

Ce qui est précieux est fragile,

Comme poussières dans un rayon, 

Souffle dessus, tout s'écroulera,

Ce qui est précieux éclot,

Croît, passe et se fane,

Comme la peau... "

B. Scott. Les Jardins mécaniques.

Vous aussi avez probablement des "Pépites" désirées, parfois frôlées et jamais immortelles... Plus que les frôler, à nous de savoir les caresser et ne pas les abîmer, les diminuer ou plus encore, les décevoir lorsqu'elles sont de chair et d'âme... Ca tient à si peu... Il me semblerait que comme rien est immortel, à la fois, dans ce monde fragile, rien est véritablement définitif, pardonnez-moi si je ne m'abuse! ;-)